Pour vous permettre de mieux connaître My expat, nous vous présentons une série d’interviews des membres de notre équipe. Aujourd’hui, Olivier Bouquin nous explique son rôle de chargé de projet à Bordeaux.
Olivier, est ce que tu peux nous expliquer quel est ton rôle chez My expat ?
Mon rôle est d’analyser la demande du client et de chercher un bien correspondant à son projet. Une fois que j’ai trouvé le bien idéal, je lui propose des appartements. Ensuite, quand une offre est déposée, je suis les procédures administratives, le financement et l’acte notarié. Je représente aussi le client chez le notaire, il n’a donc jamais besoin de rentrer en France.
Mes principaux intermédiaires sont les agences immobilières et les notaires. Une fois que les projets sont finis, et si le client le demande, je peux aussi travailler avec des artisans du bâtiment, des décorateurs ou home-staggers, des agences de gestion locative, etc…
Mes journées ne se ressemblent pas. Seules les réunions avec les autres chargés de projet sont récurrentes. Généralement, je réserve ma matinée pour les recherches et l’après-midi je fais les visites, mais le marché immobilier va très vite donc j’adapte sans cesse mon agenda aux opportunités que je trouve.
Quelles sont les qualités nécessaires à ce métier, selon toi ?
Avant tout, je pense qu’il faut être à l’écoute, disponible et très réactif par rapport au marché immobilier et par rapport aux clients.
Les biens partent très vite donc il faut réagir très rapidement pour faire des visites et des offres.
Pour ce qui est des clients, ils aiment recevoir des réponses rapides et ça les rassure étant donné qu’ils investissent à distance. C’est ce qui fait qu’ils sont satisfaits et qu’ils vont au bout de leur projet.
Est ce que tu as une anecdote sur un projet ?
Je me souviens de l’un de mes premiers projets chez My expat. La procédure d’achat d’un de nos clients était assez longue car il avait des problèmes de santé. Pour cette raison, la propriétaire n’avait plus confiance en l’agence immobilière et elle voulait remettre son bien sur le marché. Elle ne souhaitait plus communiquer avec l’agence, alors j’ai du la convaincre de poursuivre la procédure avec notre client et j’ai aussi du faire l’intermédiaire entre eux pendant toute la durée du projet. C’était deux fois plus de travail car je devais m’occuper du côté acheteur et du côté vendeur.
La propriétaire et le client étaient très angoissés car la propriétaire avait peur de ne pas vendre et notre client avait peur de perdre les 10% d’acompte donné lors de l’offre d’achat. J’ai décidé de faire comme si j’achetais l’appartement pour moi. Ça m’a demandé beaucoup de temps et d’énergie mais j’ai réussi à tout gérer, et ça a payé !
À la fin du projet, le client était très satisfait et m’a laissé un très bon commentaire. L’agence m’a même remercié avec une bouteille de champagne !
Comment c’est de travailler chez My expat ?
Il y a beaucoup de points positifs à travailler chez My expat : l’équipe est dynamique, innovante et on est dans la confiance respective entre collaborateurs.
Florent (ndlr : CEO de My expat), a complètement confiance en nous et on sait qu’on peut avoir complètement confiance en lui. On se fait aussi confiance entre chargés de projet et à travers tous les pôles de l’entreprise. Je travaille à distance et c’est très important pour moi de sentir qu’on me fait confiance car j’organise mes journées comme je l’entends.
Au début j’avais peur de travailler seul et de ne jamais parler à personne. Finalement, il n’y a eu aucun soucis par rapport à ça car je suis en contact avec les chargés de projet de Paris et Lyon tous les matins, les clients, les agences et les notaires… ça rythme la journée. C’est justement l’un des points que j’apprécie le plus dans mon travail : le côté humain. Il y a une richesse dans les échanges avec les clients. Ils sont tous expatriés dans des pays différents et on en apprend beaucoup sur la culture et les habitudes de chacun. Ça fait voyager par procuration et c’est très intéressant.
Enfin, d’un point de vu professionnel, travailler chez My expat m’apporte une vraie expertise sur le marché immobilier bordelais, sur le financement d’un bien et sur le déroulement d’une procédure notariale.
Que penses-tu de la dématérialisation qu’offre My expat ?
Avant de connaître My expat, je ne savais pas qu’on pouvait investir dans l’immobilier à distance. La première fois qu’on m’a parlé du service de My expat, je n’y croyais pas vraiment. Je pensais que ça allait être trop compliqué de convaincre les gens d’acheter des appartements sans les voir. Finalement, on n’a même pas besoin de les convaincre. Ils savent que leur placement est purement financier et dans la mesure où on leur fournit toutes les informations sur les biens, ils n’ont pas de mal à se lancer.
Je trouve que c’est une très bonne idée d’avoir lancé un service comme celui de My expat, et la plateforme avec laquelle on travaille facilite beaucoup la procédure et les échanges. Je pense aussi qu’on a une vraie valeur ajoutée pour les expatriés. On fait ça depuis des années et on a développé une vraie expertise sur l’investissement immobilier à distance.